L’ÊTRE et l’UNIVERS
Un rapport aux autres et au vivant qui
se révèle complexe mais, potentiellement
plus simple lorsqu’il est UNIFIE
1- Constat
Nous existons par le rapport que l’on a avec son environnement et, particulièrement les humains qui nous entourent. Nous vivons cette existence par le biais de nos sens et du traitement des informations que notre cerveau traite et enregistre. Et nous sommes, à chaque instant et dès notre état de fœtus, la résultante des perceptions et des traitements d’informations qui sont UNIQUE pour chacun. Chaque décision, consciente ou inconsciente est un élément constitutif de notre édifice.
C’est ainsi que, si sa singularité est un « UN », elle est aussi un « TOUT », en ce que nous sommes liés consubstantiellement à cet édifice complexe, protéiforme, interactif et évolutif. La bible évoque le sujet : car comme le corps n'est qu'un, et cependant il a plusieurs membres, mais tous les membres de ce corps, qui n'est qu'un, quoiqu'ils soient plusieurs, ne sont qu'un corps.
Notre état de conscience est donc dicté par la lecture, à chaque instant, de l’Univers que l’on s’ait construit. Et cela est vrai pour toutes les personnes que l’on côtoie.
Il est donc IMPOSSIBLE, que nous appréhendions les choses de la même façon. Et si on prend du recul par rapport à cela, on perçoit vite que chaque partage de fond est un exercice de funambulisme.
Il est une exception, qui si on y prête attention, est un trésor. Cela se produit lorsque la relation est amour, celui qui fait que l’on prête plus attention à l’autre qu’à soi-même. Cela se trouve le plus souvent dans la relation de couple, voire de grande amitié. Mais là encore, ce n’est pas un état permanent et celui-ci doit être cultivé… sans relâche. Car s’il y a rencontre de deux univers, il n’y a pas fusion.
Regardons ce que nous disent les sciences qui, partis d’un réel stable et unique nous ouvre les yeux sur l’imaginaire, le complexe. Il nous montre un espace indissociable du temps, une relativité à très grande échelle. Il nous montre également que nos constituants les plus petits sont en fait le résultat d’une intrication de plusieurs états et qu’ils sont non-localisés ! Il nous montre enfin que l’espace et le temps que nous connaissons ne sont pas la seule et unique réalité. En fait on ne peut plus parler d’Univers mais de multivers. Chaque monde contient une version unique de chaque personne (chaque observateur) qui vit une situation différente au même moment du temps. L’interprétation des mondes multiples théorise la présence de lignes temporelles ramifiées ou réalités alternatives dans lesquelles les conséquences de nos décisions sont différentes, ayant donc parfois des issues très différentes.
La théorie du Big Bang n’étant plus seule à faire autorité, avec l’arrivée des concepts de multivers, on (re)découvre le fait que les enjeux de la physique théorique ne sont pas imperméables à des considérations philosophiques, métaphysiques ou théologiques. Et c’est une avancée majeure car une SEULE approche de la réalité est comme un communiqué de presse pour une information. Elle est FORCEMENT totalement incomplète, dès lors fausse.
Les théories les plus poussées reposent sur une Théorie de la Double Causalité. Celle-ci appelle à la délicate question du libre arbitre, dans un monde où notre futur serait déjà réalisé et en continuelle transformation, sous l'influence de nos intentions et de nos observations. Le corps physique, la matière, seraient le passé, le subconscient correspondrait au futur, pendant que nous créons notre passé en faisant des choix dans le présent.
Notre challenge serait que les deux apprennent à se connecter pour aller au meilleur futur, de manière vibratoire. En changeant la structure de l’espace intime, la conscience, nous changerions le futur. Et si nous arrivons à capter l’information du soi en supprimant toutes les croyances, nous serions capables de recevoir une toute nouvelle structure vibratoire, fondement d’une existence nouvelle, plus accomplie.
Tout ceci donne une tout autre dimension à son univers mental, puisque l’Univers lui-même n’est qu’occurrence parmi un tout qui n’est que représentation et perception. Nous sommes « ondulatoires » en même temps que matière. Ainsi, notre univers mental évolue à chaque instant et c’est le libre arbitre qui le façonne (libre arbitre que l’on peut appeler l’âme ou la conscience de l’individu). Le temps tel que l’on le préempte n’est qu’une illusion. Notre état de conscience ne repose que sur l’instant présent. L’individualité n’est qu’un état de conscience. Il n’existe, à chaque instant que par SON univers mental.
2- Mathématiques : l'arithmétique
L'arithmétique est une branche des mathématiques qui correspond à la science des nombres. Par-delà, elle est fondamentale pour mesurer l’observable et, on le verra plus loin, l’inobservable. Les nombres ont été définis de la manière la plus grossière à la plus complexe.
- Les nombres entiers : l’homme dénombre sa tribu, un groupe d’antilopes a chasser… C'est le groupe des Entiers naturels « N »,
- Les nombres entiers négatifs sont relatifs à la décrémentation d'un nombre entier naturel. Si un homme de la tribu meurt ou si on a tué 3 antilopes, il faut quantifier ‘’-1'' ou ‘’-3’' dans le décompte.
- Les nombres rationnels : l'homme appréhende les parties d'un groupe : 1/3, 25/100… C'est le Groupe des Rationnels « Q »,
- Les nombres irrationnels. Là, l'homme découvre que toute quantité n'est pas rationnelle. Parmi les tailles des pieds d'un groupe de personnes, il y a des ‘’Pointures'' en pourcentage d'inch ou de cm. Mais certaines longueurs de pieds ne peuvent se quantifier en un ratio… C'est le Groupe des Irrationnels,
- Si on regroupe les nb rationnels et celui des irrationnels, on obtient un groupe ‘’Compact’’, c’est-à-dire continue, sans ‘’trou". C’est le Groupe des Réels « R »,
- Pour décrire des fonctions complexes, notamment en physique quantique, l’homme a imaginé des nombres ‘’Imaginaires’’. C'est le Groupe « I », ils se représente par des racines carrés de nombres entiers négatifs.
- Si on regroupe les nombres réels et imaginaires (purs), on obtient le Groupe des Complexes ‘’C".
Les avancées en arithmétique accompagnent celle des représentations mentales.
Du naturel, on a ajouté le rationnel, plus élaboré. Puis l’irrationnel qui dépasse la raison. Le réel est alors la superposition du naturel, du rationnel et de l’irrationnel.
La pensée a été affectée, au travers des sciences, notamment la ‘’Physique". C’est ainsi que le ‘’Réel" s'est révélé insuffisant pour rendre compte des observations. Ainsi est-on arrivé à recourir à l’‘’imaginaire’’, pudiquement appelé ‘’Complexe''.
On peut lire, en s’appuyant sur la symbolique, que l'homme à découvert que l’irrationnel existait dans son réel. Et plus fort encore, que l’imaginaire se posait comme une réalité à côté du réel visible !
3- Physique, Relativité quantique et multivers
Le début du 20 ième siècle a été formidablement prolixe en découvertes fondamentales qui ont fait complétement vaciller le modèle classique. En fait la physique classique s’était logiquement consacrée au domaine du visible, quand Einstein a étudié celui de l’infiniment grand et Eisenberg/Bohr celui de l’infiniment petit. Conséquemment à ces découvertes, une idée fait très sérieusement son chemin : l’existence des multivers.
o Relativité
Avec l’arrivée de la relativité, Einstein et les grands physiciens de son époque ont démontré un certain nombre de contre-intuitions, dans le domaine de l’infiniment grand :
Dans le cadre de la « relativité restreinte », Einstein révèle qu'une particule isolée et au repos de masse m possède, du fait de cette masse, une énergie E, appelée énergie de masse donnée par le produit de m par le carré de la vitesse de la lumière (c). Ainsi, contre-intuitivement, du fait de l'énormité du facteur c2, une masse même petite à l'échelle, possède une quantité considérable d'énergie.
La formule E = mc2 concerne une particule au repos dans son référentiel de mesure mais, pour une particule animée d'une vitesse v, on doit l’appréhender dans son propre référentiel. C’est ainsi que la théorie de la relativité restreinte modifiait les équations utilisées pour comparer les mesures dans différents référentiels en mouvement les uns par rapport aux autres. Cela eut pour conséquence que la physique ne pouvait plus traiter le temps et l'espace séparément, mais seulement comme un espace à quatre dimensions.
Mais, avec l’équivalence Energie/Masse, la présence de matière peut déformer localement l'espace-temps lui-même et pas seulement les trajectoires, de telle manière que des trajectoires à travers l'espace-temps ont des propriétés de courbure dans l'espace et le temps. Ainsi naquit la « relativité générale » qui prolonge la relativité restreinte. Le calcul de la « distance » dans cet espace-temps courbe est plus compliqué qu'en relativité restreinte ; en fait, la formule de la « distance » est créée par la formule de la courbure, et vice-versa. A la gravitation de Newton, se rajoute la gravitation ondulatoire.
À partir des équations d'Einstein, plusieurs modèles d'Univers sont désormais possibles. Confirmé par les observations cosmologiques, à l'Univers jusque-là stationnaire, s’oppose des Univers non stationnaires. La métrique de Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker montre que trois modèles homogènes et isotropes de l'Univers sont possibles suivant la valeur d'un paramètre dans la métrique : espace plat (en moyenne), à courbure positive (univers dit fermé : de volume fini), ou à courbure négative (univers dit ouvert : de volume infini).
o Physique quantique
A peine la relativité d’Einstein établit, une nouvelle révolution, plus dérangeante encore, la mécanique quantique a succédé à la théorie des quanta et à la mécanique ondulatoire pour étudier et décrire les phénomènes fondamentaux à l'œuvre dans les systèmes physiques, plus particulièrement à l'échelle atomique et subatomique. Si la mécanique quantique comporte de profondes difficultés conceptuelles, son formalisme mathématique est d'une efficacité inégalée. Parmi ses concepts, on peut citer la dualité onde corpuscule, la superposition quantique, l'intrication quantique ou encore la non-localité.
À la suite des travaux d'Einstein, les théories scientifiques modernes accordent à tous les objets une double nature d'onde et de corpuscule, bien que ce phénomène ne soit perceptible qu'à l'échelle des systèmes quantiques. L'électrodynamique quantique donne à la lumière un aspect corpusculaire, et montre par des propriétés probabilistes que les photons (particules de masse nul et, de ce fait se déplaçant à la vitesse maximale « c ») peuvent avoir un comportement ondulatoire. De la même manière, « onde » et « corpuscule » sont des manières de voir les choses et non les choses en elles-mêmes. Le terme de dualité est alors assez « contradictoire », signifiant qu'il existe deux choses différentes alors qu'il s'agit bien de l'unification de deux domaines de la physique : les ondes et l'aspect corpusculaire.
Le principe de superposition consiste en ce qu’un même état quantique peut posséder plusieurs valeurs pour une certaine quantité observable (position, quantité de mouvement, etc.). Ce principe résulte du fait que l'état d'un système quantique (une particule, un atome, etc.) est représenté par un vecteur dans un espace vectoriel nommé espace de Hilbert. Celui-ci admet une décomposition en une combinaison linéaire de vecteurs selon UNE base donnée. Or, il se trouve qu'en mécanique quantique, une donnée observable donnée correspond à une base donnée de l'espace de Hilbert. En conséquence, l'état de position d’une particule doit être représenté comme une somme d'un nombre infini de vecteurs, chaque vecteur représentant une position précise dans l'espace. Le carré de la norme de chacun de ces vecteurs représente la probabilité de présence de la particule à une position donnée. Chaque particule est définie par sa fonction d’onde.
On est forcé d’introduire une notion PROBABILISTIQUE à la matière corpusculaire !
Le principe de non-localité est l’une des prédictions les plus puissantes et omniprésentes de la physique quantique. La non-localité signifie que la mesure des propriétés d’une particule quantique peut affecter instantanément les propriétés d’une autre particule, même si les 2 particules ne sont pas au même endroit. On sait depuis peu que la non-localité est partagée par tous les observateurs, y compris ceux qui utilisent un cadre de référence quantique, dans lequel un observateur de particules est lui-même dans un état probabiliste !
La non-localité est cruciale pour révéler la véritable nature de la réalité physique elle-même, en donnant des perspectives profondes pour la physique et la philosophie.
o Multivers
La notion de multivers, en fait, remonte avant les découvertes de la relativité et du quantique. L’humanité imagine les réalités alternatives depuis bien longtemps : en 1848, Edgar Allan Poe a même écrit un poème en prose dans lequel il imaginait l’existence d’une « succession illimitée d’univers ». Mais le concept de multivers a vraiment pris de l’ampleur lorsque ces théories scientifiques modernes, dont la cosmologie, ont théorisé l’existence d’autres univers dans lesquels les événements auraient lieu, et ce en dehors de notre réalité. Elles suggèrent que l’espace et le temps que nous connaissons ne sont pas la seule et unique réalité.
Une théorie qui est beaucoup explorée est celle des mondes multiples de la mécanique quantique, qui décrit le comportement de la matière par les mathématiques.
En particulier, la « théorie des mondes multiples » présentée et développée dans les années 1950 par le physicien américain Hugh Everett constitue une tentative de résolution du problème de la superposition des états quantiques (cf. plus haut). Elle suppose que notre monde coexiste avec de nombreux autres univers, qui se divisent continuellement en univers divergents, différents et inaccessibles entre eux.
D'après Everett, chaque monde contient une version unique de chaque personne (chaque observateur) qui vit une situation différente au même moment du temps. L’interprétation des mondes multiples théorise la présence de lignes temporelles ramifiées ou réalités alternatives dans lesquelles les conséquences de nos décisions sont différentes, ayant donc parfois des issues très différentes. Selon cette interprétation, d’autres versions de nous pourraient être en train de vivre les nombreuses vies alternatives que nous aurions pu mener si nous avions pris des décisions différentes. Mais la seule réalité que nous pouvons percevoir est celle dans laquelle nous vivons.
Dans l'interprétation d'Everett, il n'y a jamais qu'un seul univers, qui se scinde en plusieurs portions ne pouvant guère interagir les unes avec les autres (sauf cas particulier comme les fentes de Young) en raison du phénomène de décohérence quantique. Les conséquences macroscopiques de l'existence de ces différentes portions sont encore aujourd'hui impossibles à mesurer.
On n’est pas ici dans le concept d’ « univers parallèles » car tous ces univers ont, par construction, un point commun dans le temps. Ce multivers (appelé de niveau 3) tel que le propose Everett, est un multivers inclus au sein d’un espace appelé espace de Hilbert de dimension infinie.
4- Métaphysique
La théorie du Big Bang n’étant plus seule à faire autorité, avec l’arrivée des concepts de multivers, on (re)découvre le fait que les enjeux de la physique théorique ne sont pas imperméables à des considérations philosophiques, métaphysiques ou théologiques. Lorsque les cosmologues repoussent ces limites, ils en tirent, consciemment ou inconsciemment, des réponses inspirées de leurs propres préférences philosophiques. Il devient de plus en plus clair que la Création ne concerne pas uniquement la physique.
• Concernant la métaphysique. Aristote y dévoile ce qu'il appelle la « philosophie première », science des causes premières, des premiers principes et de la finalité de tout ce-qui-est en tant qu'il est. Cette science est aussi la seule qui soit libre, car elle est à elle-même sa propre fin. Aborder les grandes questions scientifiques de notre époque appelle une compréhension profonde non seulement de la science, mais également de la philosophie de la science, qu’elle soit ancrée dans une vision personnelle théiste ou laïque.
• Il souligne le principe de causalité. En effet, nous connaissons une chose, seulement quand nous pensons connaître sa première cause. Or, le mot cause a quatre sens. Aristote explicite alors sa théorie de la causalité, aussi appelée théorie des quatre causes :
o Cause formelle : la substance (sa nature, son essence, sa forme),
o Cause matérielle : la matière ou substrat (le sujet) ;
o Cause motrice : principe du mouvement ;
o Cause finale : « ce en vue de quoi », ou le bien (la fin du mouvement).
• Le principe de la double causalité. Philippe Guillemant, chercheur au CNRS, introduit la notion de la double causalité à l'origine des synchronicités.
Les syncsynchronicitéss coïncidences mystérieuses que nous attribuons souvent au hasard à défaut d'en comprendre le sens, constituent le matériau expérimental d'une Théorie du Temps et de l'Espace. Cette théorie révolutionnaire est porteuse d'un message salutaire : elle démontre que nos intentions agissent comme par magie dans notre vie, pour peu qu'elles entretiennent le cycle de l'amour et avec lui, les pouvoirs extraordinaires du don de soi et du détachement.
La Théorie de la Double Causalité repose la délicate question du libre arbitre, dans un monde où notre futur serait déjà réalisé et en continuelle transformation, sous l'influence de nos intentions et de nos observations.
5- Psychologie
Dans le domaine de la psychologie, et plus particulièrement dans le domaine de la psychologie analytique, la psyché désigne l'ensemble des phénomènes psychiques. Synonyme de l'activité mentale, elle englobe toutes les manifestations conscientes et inconscientes d'un individu.
On se trouve dans les domaines de conscience, que ce soit le subconscient, le conscient, l’inconscient…
• Le conscient est le premier niveau de conscience. Il englobe sa perception par les cinq sens, les souvenirs et la connaissance théorico-pratique accumulée au fil des années sur lui et son environnement. Le conscient permet de percevoir la réalité, de juger, de réfléchir et décider au quotidien.
• Le subconscient englobe tout ce qui n'est pas conscient et qui est acquis, c'est à dire ce qui a été un jour conscient et qui est désormais juste en dessous-sous de la conscience, sous la sous la forme de réflexe.
La plupart des acquis subconscients se font pendant l'enfance. On associe le subconscient au stockage des pensées et expériences, négatives ou positives. Le subconscient ne juge pas et ne fait pas la différence entre le bon et l'immoral ou encore le réel et l'imagé qui passe par le conscient.
Notre conscience de l’instant (qui disparaît au même moment qu’il apparait !), est en constante évolution. Dans la pratique, il se duplique ou s’infléchit, selon chaque nouvel entrant. Elle est, en fait, notre passé de chaque nouvel instant. Ainsi, pour Philippe Guillemant, le corps physique, la matière, tout ce que l’on appréhende dans notre conscient est le passé. Le subconscient, qui représente nos acquis et ne repose pas sur la matière et l’espace correspond au futur, pendant que nous créons notre passé en faisant des choix dans le présent.
Ainsi, pour espérer orienter notre futur, il faut que nos réflexes (préjugés, a priori), donc notre conscience dialogue avec notre subconscient (dénué de toute croyance).
En fait, les deux doivent apprendre à se connecter pour aller vers un meilleur futur et cela se fait de manière vibratoire (on a vu que la physique « moderne » avait compris que tout corps était en même temps matière et onde vibratoire).
Philippe Guillemant démontre, grâce à ces nombreuses années de recherches, qu’en changeant la structure de l’espace intime, la conscience, nous changeons le futur. Si nous arrivons à capter l’information du soi en supprimant toutes les croyances, nous sommes capables de recevoir une toute nouvelle structure vibratoire, fondement d’une amélioration personnelle, donc d’une existence nouvelle).
A nous de comprendre que notre Univers nous appartient, que nous le modelons et que nous sommes tous IMPLIQUES dans sa réalisation. Donc c’est à nous de le rendre le plus vaste possible, en accueillant le PLUS LARGEMENT les autres Univers. Cela passe impérativement .par la CONFIANCE Et la domination DE SA PEUR !